Arabic
حَدَّثَنِي يَحْيَى، عَنْ مَالِكٍ، عَنِ ابْنِ شِهَابٍ، عَنْ سَعِيدِ بْنِ الْمُسَيَّبِ، وَأَبِي، سَلَمَةَ بْنِ عَبْدِ الرَّحْمَنِ عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ، أَنَّ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم قَالَ " جَرْحُ الْعَجْمَاءِ جُبَارٌ وَالْبِئْرُ جُبَارٌ وَالْمَعْدِنُ جُبَارٌ وَفِي الرِّكَازِ الْخُمُسُ " .
حدثني يحيى، عن مالك، عن ابن شهاب، عن سعيد بن المسيب، وابي، سلمة بن عبد الرحمن عن ابي هريرة، ان رسول الله صلى الله عليه وسلم قال " جرح العجماء جبار والبير جبار والمعدن جبار وفي الركاز الخمس
Bengali
English
Yahya related to me from Malik from Ibn Shihab from Said ibn al- Musayyab and Abu Salama ibn Abd ar-Rahman from Abu Hurayra that the Messenger of Allah, may Allah bless him and grant him peace, said, "The wound of an animal is of no account and no compensation is due for it. The well is of no account and no compensation is due for it. The mine is of no account and no compensation is due for it and a fifth is due for buried treasures." (Al-kanz:see Book 17). Malik said, "Everyone leading an animal by the halter, driving it, and riding it is responsible for what the animal strikes unless the animal kicks out without anything being done to it to make it kick out. Umar ibn al-Khattab imposed the blood-money on a person who was exercising his horse." Malik said, "It is more fitting that a person leading an animal by the halter, driving it, or riding it incur a loss than a person who is exercising his horse." (See hadith 4 of this book). Malik said, "What is done in our community about a person who digs a well on a road or ties up an animal or does the like of that on a road used by muslims, is that since what he has done is included in that which he is not permitted to do in such a place, he is liable for whatever injury or other thing arises from that action. The blood-money of that which is less than a third of the full blood- money is owed from his own personal property. Whatever reaches a third or more, is owed by his tribe. Any such things that he does which he is permitted to do on the muslims' road are something for which he has no liability or loss. Part of that is a hole which a man digs to collect rain, and the beast from which the man alights for some need and leaves standing on the road. There is no penalty against anyone for this." Malik spoke about a man who went down a well, and another man followed behind him, and the lower one pulled the higher one and they fell into the well and both died He said, "The tribe of the one who pulled him in is responsible for the blood-money." Malik spoke about a child whom a man ordered to go down into a well or to climb a palm tree and he died as a result. He said, "The one who ordered him is liable for whatever befalls him, be it death or something else." Malik said, "The way of doing things in our community about which there is no dispute is that women and children are not obliged to pay blood-money together with the tribe in the blood-moneys which the tribe must pay. The blood-money is only obligatory for a man who has reached puberty." Malik said that the tribe could bind themselves to the blood-money of mawali if they wished. If they refused, they were people of the diwan or were cut off from their people. In the time of the Messenger of Allah, may Allah bless him and grant him peace, people paid the blood-money to each other as well as in the time of Abu Bakr as-Siddiq before there was a diwan. The diwan was in the time of Umar ibn al-Khattab. No one other than one's people and the ones holding the wala' paid blood- money for one because the wala' was not transferable and because the Prophet, may Allah bless him and grant him peace, said, "The wala' belongs to the one who sets free." Malik said, "The wala' is an established relationship." Malik said, "What is done in our community about animals that are injured is that the person who causes the injury pays whatever of their value has been diminished." Malik said about a man condemned to death and one of the other hudud befell him, "He is not punished for it. That is because the killing overrides all of that, except for slander. The slander remains hanging over the one to whom it was said because it will be said to him, 'Why do you not flog the one who slandered you?' I think that the condemned man is flogged with the hadd before he is killed, and then he is killed. I do not think that any retaliation is inflicted on him for any injury except killing because killing overrides all of that." Malik said, "What is done in our community is that when a murdered person is found among the main body of a people in a village or other place, the house or place of the nearest people to him is not responsible. That is because the murdered person can be slain and then cast at the door of some people to shame them by it. No one is responsible for the like of that." Malik said about a group of people who fight with each other and when the fight is broken up, a man is found dead or wounded, and it is not known who did it, "The best of what is heard about that is that there is blood-money for him, and the blood-money is against the people who argued with him. If the injured or slain person is not from either of the two parties, his blood-money is against both of the two parties together
French
Abou Houraira a rapporté que l'Envoyé d'Allah r (salallahou alayhi wa salam) (Sur lui la grâce et la paix d'Allah) a dit: «Plus de dyia à remettre au cas d'un accident provenant d'un animal, d'un puits et d'un métal. Quant à ce qui est du «rikaz» (c'est ce qui est enfoui des trésors au temps antéislamique) l'on en compte le cinquième». - Malek, à ce sujet, est du même avis. - Malek a dit: «Le chef d'une caravane, le conducteur d'une bête et celui qui la monte, tous en sont responsables des blessures causées par une monture, excepter le cas où la bête frappe du pied sans qu'elle soit poussée par quelqu'un qui le lui fait faire cela. D'autre part, Omar Ibn Al-Khattab, était pour le paiement de la dyia concernant celui qui fait parcourir sa monture (à savoir lui causant par là une blessure). - Malek a ajouté: «D'ailleurs le chef d'une caravane, le conducteur d'une bête et celui qui la monte doivent beaucoup plus le versement d'une dyia que celui qui fait parcourir sa monture». - Malek a encore dit: «Ce qui est pratiqué à Médine, est ce qui suit: «Celui qui creuse un puits en pleine rue, ou qu'il attache une monture ou même qu'il fasse une chose pareille sur la voie parcourue par les musulmans, et que toutes ces actions sont ce qui n'est pas permis, et ce qui cause du mal aux musulmans, il sera tenu à assumer la responsabilité de ce qui pourrait arriver, une blessure soit-elle ou autre. Si les dégâts causés ne comptent pas même le tiers de la dyia, ils seront pris du propre argent de cet homme; mais si la somme est du tiers et au delà, elle est de l'aqila. Cependant si l'homme avait effectué ce qui est permis comme action, et que ceci avait causé un dégât ou un préjudice aux musulmans, il n'en sera pas responsable, comme le fait de creuser un puits pour retenir l'eau de la pluie ou descendre d'une monture et l'attacher à côté de la route, pour satisfaire un besoin». - Aussi, au sujet de celui qui descend dans un puits, et qu'un autre lui fait suite, de telle façon que le premier attire le second, finissant tous deux dans le puits, Malek a dit: «C'est au premier de payer la dyia». - De même pour le garçon, à qui l'homme demande de descendre dans un puits, ou de monter un palmier, et qui finit par mourir (en faisant une chute ou autre cause liée à cette ordre), Malek a dit: «C'est à l'homme d'assumer la responsabilité, payant ainsi la dyia». - Malek a encore dit: «Ce qui est incontestablement pratiqué chez nous (à Médine), c'est de n'exiger des femmes et des garçons le paiement de la dyia avec raqua, car en fait la dyia n'est exigible que des hommes qm sont déjà à maturité». -A propos de la dyia exigée des affranchis Malek a dit: «On peut en charger l'aquila si elle accepte mais au cas où elle refuse ils seront d'appartenanœ an Diwan (1), ou abandonnés. Aussi du temps de l'Envoyé d'Allah r (salallahou alayhi wa salam) (Sur lui la gr✠et la paix d'Allah) et de Abou Bakr Al Siddiq, le régime de 1'aqila était suivi avant même que le diwan n'existait; par conséquent ce diwan a été institué du temps de Omar. Ainsi donc, il n'est pas permis que l'on paie à quelqu'un la dyia si ce ne sont ou des gens de sa tribue ou ses proches, car le wala ne peut être transmis, encore que l'Envoyé d'Allah r (salallahou alayhi wa salam) Sur lui la grâce et la paix d'Allah a dit: «le droit du patronage (autrement dit le wala) revient à celui qui affranchit». (1) Le Diwan est conçu comme étant le régistre. Mais durant l'époque de Omar Ibn el Khattab le Diwan était constitué des institutions gouvernementales et officielles telles le trésor publique le statut personnel et autre… - Et Malek de souligner le wala est une appartenance fixe» - - Aussi, ce qui est suivit chez nous (à Médine) concernant les bêtes qui ont subit un mal; Malek a dit: «Celui qui leur a causé du mal, doit payer à leur sujet une somme équivalente au taux de la diminution». - Concernant l'homme condamné à mort, en commettant un crime qui le soumet à une peine prescrite, Malek a dit: «On ne tient plus compte de la peine prescrite, du moment que la mort englobe tout, sauf si c'est le cas d'une diffamation, ainsi on demande au diffamé: «Pourquoi ne demandes-tu pas l'application de la peine à celui qui t'a diffamé»? Et Malek de souligner: «Je conçois là, l'application de la peine prescrite au diffamateur avant de le tuer. Puis on le tuera, je ne conçois pas qu'on a le droit de lui imposer le paiement de la dyia s'il s'agit d'une blessure par exemple, car la peine de la mort ne laisse place à aucune autre peine». - Malek a encore dit: «Ce qui est suivi chez nous (à Médine), au sujet d'un homme tué, abandonné parmi les demeures ou dans un village ou autre lieu. C'est que l'on n'a pas le droit d'accuser celui dont la maison est proche du tué, ni celui qui habite tout près de la place où a été abandonné te tué, car il se peut qu'un homme soit tué puis jeté à la porte des gens afin qu'ils en soient inculpés. Ainsi un tel acte est à repousser». - Finalement, au sujet d'un groupe de gens qui, se battent enre eux,et terminent par un tué ou un blessé sans que l'on puisse savoir qui en est le responsable , Malek a dit: «Ce que j'ai de mieux entendu dire à ce sujet, c'est d'exiger la dyia de ceux qui se sont battus contre lui; et si le blessé ou le tué n'était ni de tel camp, ni de tel autre, la dyia sera exigée des deux camps à la fois». Chapitre XIX Le meurtre commis par trahison ou par magie
Indonesian
Telah menceritakan kepadaku Yahya dari Malik dari [Ibnu Syihab] dari [Sa'id bin Musayyab] dan [Abu Salamah bin Abdurrahman] dari [Abu Hurairah] bahwa Rasulullah shallallahu 'alaihi wasallam bersabda: "Pencideraan terhadap binatang tidak dikenakan denda, (pengrusakan terhadap) sumur juga tidak dikenakan denda, (pengrusakan) barang tambang juga tidak dikenakan denda, dan dalam (pengrusakan) harta karun (dikenakan denda) seperlima." Malik berkata; "Penjelasan arti jubar adalah tidak ada diyat di dalamnya