Arabic

قَالَ يَحْيَى قَالَ مَالِكٌ عَنِ ابْنِ شِهَابٍ، عَنْ سَالِمِ بْنِ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ عُمَرَ، عَنْ أَبِيهِ، أَنَّ عُمَرَ بْنَ الْخَطَّابِ، قَالَ مَا بَالُ رِجَالٍ يَطَئُونَ وَلاَئِدَهُمْ ثُمَّ يَعْزِلُوهُنَّ لاَ تَأْتِينِي وَلِيدَةٌ يَعْتَرِفُ سَيِّدُهَا أَنْ قَدْ أَلَمَّ بِهَا إِلاَّ أَلْحَقْتُ بِهِ وَلَدَهَا فَاعْزِلُوا بَعْدُ أَوِ اتْرُكُوا ‏.‏
قال يحيى قال مالك عن ابن شهاب، عن سالم بن عبد الله بن عمر، عن ابيه، ان عمر بن الخطاب، قال ما بال رجال يطيون ولايدهم ثم يعزلوهن لا تاتيني وليدة يعترف سيدها ان قد الم بها الا الحقت به ولدها فاعزلوا بعد او اتركوا

Bengali

রেওয়ায়ত ২৪. ইবন উমর (রাঃ) হইতে বর্ণিত, উমর (রাঃ) বলেন যে, লোকদের হইল কি, তাহারা দাসীদের সাথে সহবাস করে এবং আযল[1] করে। ভবিষ্যতে যদি কোন দাসী আমার নিকট আসে এবং তাহার মনিব তাহার সাথে সঙ্গম করার স্বীকারোক্তি করে তবে আমি ঐ সন্তানকে মনিবের সাথে মিলিত করিয়া দিব, এখন তোমরা চাই আযল কর, চাই আযল না কর।

English

Yahya said that he heard Malik say, "The way of doing things generally agreed upon in our community in the case of a man who dies and has sons and one of them claims, 'My father confirmed that so-and- so was his son,' is that the relationship is not established by the testimony of one man, and the confirmation of the one who confirmed it is only permitted as regards his own share in the division of his father's property. The one testified for is only given his due from the share of the testifier." Malik said, "An example of this is that a man dies leaving two sons, and 600 dinars. Each of them takes 300 dinars. Then one of them testifies that his deceased father confirmed that so-and-so was his son. The one who testifies is obliged to give 100 dinars to the one thus connected. This is half of the inheritance of the one thought to be related, had he been related. If the other confirms him, he takes the other 100 and so he completes his right and his relationship is established. His position is similar to that of a woman who confirms a debt against her father or her husband and the other heirs deny it. She must pay to the person whose debt she confirms, the amount according to her share of the full debt, had it been confirmed against all the heirs. If the woman inherits an eighth, she pays the creditor an eighth of his debt. If a daughter inherits a half, she pays the creditor half of his debt. Whichever women confirm him, pay him according to this. Malik said, "If a man's testimony is in agreement with what the woman testified to, that so- and-so had a debt against his father, the creditor is made to take an oath with one witness and he is given all his due. This is not the position with women because a man's testimony is allowed and the creditor must take an oath with the testimony of his witness, and take all his due. If he does not take an oath, he only takes from the inheritance of the one who confirmed him according to his share of the debt, because he confirmed his right and the other heirs denied it. It is permitted for him to confirm it." Yahya said that Malik related from Ibn Shihab from Salim ibn Abdullah ibn Umar from his father that Umar ibn al-Khattab said, "What's the matter with men who have intercourse with their slave- girls and then dismiss them? No slave-girl comes to me whose master confesses that he has had intercourse with her but that I connect her child to him, whether or not he has practised coitus interruptus or stopped having intercourse with her

French

On rapporta à Malek, que Omar Ibn Al-Khattab ou Osman Ibn Affan, avait jugé le cas d'une esclave, qui invita un homme à l'adultère, en lui disant qu'elle était libre, il se maria avec elle et lui donna plusieurs enfants: «Que l'homme rançonne ses enfants avec ce qui est équivalent». Malek à ce propos, à dit: «Et les rançonner à la valeur de leur prix est plus juste, dans ce cas, si Allah le veut». Chapitre XXII Le jugement relatif au sujet de l'héritage de l'enfant reconnu (1453) -Malek a dit: - Ce que nous suivons chez nous (à Médine), est ce qui s'ensuit: «quand un homme meurt, et que l'un de ses nombreux fils, dise: «Mon père a reconnu tel, être son fils»; cette parenté n'est jamais prise en considération, à partir du témoignage d'une seule personne. D'autre part, celui qui fait une telle reconnaissance, aura à donner de sa part reçue de l'héritage paternel, une part pareille à celui qu'il a reconnu être fils de son père». • Interprétant cela, Malek a dit: «Considérons qu'un homme meurt en laissant deux fils, et une somme de six-cent dinars, où chacun aura trois cent dinars pour part. L'un d'eux, témoignant que son père lui avait, avant sa mort, déclaré que untel est son fils, il devra donner de sa part, cent dinars au fils en question. Une telle somme constitue la moitié de la part de l'enfant reconnu; d'autre part si l'autre frère avait fait le même témoignage, l'enfant devrait avoir encore cent dinars, recevant ainsi sa part complète de l'héritage, et par conséquent sa parenté en serait évidente (soulignons que, l'héritage étant ainsi partagé, chacun aura eu sa part équitable à savoir deux cent dinars). Son cas est similaire à celui d'une femme qui avoue que son père ou son mari, doit une dette, et que les autres héritiers la renient; ainsi, elle devra s'acquitter de cette dette au créancier, proportionnellement à-ce quelle recevra comme part de l'héritage, s'il est fait que la dette reviendra à tous les héritiers: par exemple, si elle hérite le huitième de l'héritage en tant qu'épouse, elle doit s'acquitter du huitième de la dette au créancier; et si elle hérite la moitié en tant que fille unique, elle paiera la moitié de la dette. Telle est la norme que l'on doit appliquer aux femmes reconnaissant la dette». Si encore, un homme avoue pareillement, à la femme, que son père devait une dette quelconque, le créancier est porté à faire un serment avec son témoin, et aura de ce fait toute la dette. Cependant ce cas n'est pas pris au même titre que celui de la femme, du moment que le témoignage de l'homme est toléré; ainsi celui-ci ayant reconnu la dette, l'on demande au créancier de faire un serment avec son témoin, et aura donc tout son droit. Si le créancier reruse de faire ce serment, il aura de l'héritage de celui qui lui a reconnu la dette, une part qui est proportionnelle, à la part revenant au successeur de l'héritage; quant aux autres, ils auraient renié cette dette». Chapitre XXIII Le jugement fait au sujet des mères-esclaves des enfants

Indonesian

Yahya berkata; Malik berkata; dari [Ibnu Syihab] dari [Salim bin Abdullah bin 'Umar] dari [Bapaknya] bahwa [Umar bin Khattab] berkata; "Kenapa kaum lelaki menggauli budak-budak wanita mereka kemudian melakukan 'azl, tidaklah seorang budak wanita yang majikannya mengakui bahwa ia telah menggaulinya kecuali anak tersebut akan aku nasabkan kepada majikannya. Maka setelah ini kalian boleh melakukan 'azl atau pun tidak

Turkish

Ömer b. Hattab (r.a.) der ki: Ne oluyor şu cariyesi olan efendilere de önce cariyeleriyle temasta bulunuyor, sonra çocuk yapmak istemiyorlar. Efendinin birleştiğini kabul ettiği bir cariyenin bana başvurması halinde, çocuğunu efendisi üzerine kaydederim. Bunu göz önüne alarak ister azledin, ister çocuk yapın

Urdu

عبداللہ بن عمر رضی اللہ تعالیٰ عنہ سے روایت ہے کہ حضرت عمر نے فرمایا کیا حال ہے لوگوں کو جماع کرتے ہیں اپنی لونڈیوں سے پھر ان سے جدا ہو جاتے ہیں اب سے میرے پاس جو لونڈی آئے گی اور اس کے مولیٰ کو اقرار ہوگا اس سے جماع کرنے کا تو میں اس لڑکے کو مولیٰ سے ملادوں گا تم کو اختیار ہے چاہے عزل کرو یا نہ کرو۔