Arabic
قَالَ يَحْيَى عَنْ مَالِكٍ، أَنَّهُ بَلَغَهُ عَنْ سُلَيْمَانَ بْنِ يَسَارٍ، وَغَيْرِهِ، أَنَّهُمْ سُئِلُوا عَنْ رَجُلٍ، جُلِدَ الْحَدَّ أَتَجُوزُ شَهَادَتُهُ فَقَالُوا نَعَمْ إِذَا ظَهَرَتْ مِنْهُ التَّوْبَةُ .
قال يحيى عن مالك، انه بلغه عن سليمان بن يسار، وغيره، انهم سيلوا عن رجل، جلد الحد اتجوز شهادته فقالوا نعم اذا ظهرت منه التوبة
Bengali
English
Yahya said from Malik that he heard from Sulayman ibn Yasar and others that when they were asked whether the testimony of a man flogged for a hadd crime was permitted, they said, "Yes, when repentance (tawba) appears from him." Malik related to me that he heard Ibn Shihab being asked about that and he said the like of what Sulayman ibn Yasar said. Malik said, "That is what is done in our community. It is by the word of Allah, the Blessed, the Exalted, 'And those who accuse women who are muhsan, and then do not bring four witnesses, flog them with eighty lashes, and do not accept any testimony of theirs ever. They indeed are evil-doers, save those who turn in tawba after that and make amends. Allah is Forgiving, Merciful.' " (Sura 24 ayat)
French
Rabi'a Ibn Abi Abdul-Rahman a rapporté qu'un homme de l'Iraq vint auprès de Omar Ibn Al-Khattab et lui dit: «Je viens te voir pour une question qui n'a pas ni début ni fin»; Omar lui répondit: «Quelle est cette question»? L'homme de répondre: «Les faux témoignages qui sont présents dans notre pays». Omar lui demanda: «Est-ce que c'est vraiment ainsi»? - Oui, répondit l'homme. Alors Omar s'écria: «Par Allah! Nul homme n'est détenu dans un pays de l'Islam, sans le témoignage des hommes justes». j (......) 5 - On rapporta à Malek que Omar Ibn Al-Khattab a dit: «Le témoignage d'un adversaire et d'un accusé, n'est pas admis». Chapitre III Le témoignage de celui qui a subi une peine prescrite - On rapporta à Malek qu'on demanda à Soulaiman Ibn Yassar et à d'autres, au sujet d'un homme, qui ayant subi une peine de flagellation, peut-on accepter son témoignage? Ils répondirent: «Oui s'il a fait preuve de repentir». (......) 6 - Malek a rapporté, qu'en posant la même question à Ibn Chéhab, il répondit pareillement à Soulaiman Ibn Yassar». Malek a dit: «Et telle est la règle suivie à Médine, et il est des paroles d'Allah Béni et Très Haut (le sens): «Frappez de quatre-vingts coups de fouet ceux qui accusent les femmes honnêtes sans pouvoir désigner quatre témoins; et n'acceptez plus jamais leur témoignage; voilà ceux qui sont pervers à l'exception de ceux qui, à la suite de cela, se repentent et se réforment. Allah est en vérité Celui qui pardonne, Il est miséricordieux» (Coran XXIV, 4,5). Malek a encore dit: «Ainsi, ce qui est incontestable, à Médine, c'est que celui qui, a subi une peine de flagellation, et après il s'est repenti et réformé, son témoignage sera admis. Et c'est ce que j'ai de mieux entendu à ce, sujet». Chapitre IV Le sujet du jugement basé sur le serment d'un témoin
Indonesian
Turkish
Süleyman b. Yesar ve diğerlerine: «Hadd tatbik edilen bir kişinin şahitliği caiz midir?» diye soruldu. Onlar da: «Tevbe etmişse, evet.» dediler