Arabic

وَحَدَّثَنِي مَالِكٌ، أَنَّهُ بَلَغَهُ أَنَّ عَبْدَ اللَّهِ بْنَ مَسْعُودٍ، كَانَ يُحَدِّثُ أَنَّ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم قَالَ ‏ "‏ أَيُّمَا بَيِّعَيْنِ تَبَايَعَا فَالْقَوْلُ مَا قَالَ الْبَائِعُ أَوْ يَتَرَادَّانِ ‏"‏ ‏.‏
وحدثني مالك، انه بلغه ان عبد الله بن مسعود، كان يحدث ان رسول الله صلى الله عليه وسلم قال " ايما بيعين تبايعا فالقول ما قال البايع او يترادان

Bengali

English

Malik related to me that he had heard that Abdullah ibn Masud used to relate that the Messenger of Allah, may Allah bless him and grant him peace, said, "When two parties dispute about a business transaction, the seller's word is taken, or they make an agreement among themselves. Malik spoke about someone who sold goods to a man, and said at the contracting of the sale, 'I will sell to you provided I consult so-and-so. If he is satisfied, the sale is permitted. If he dislikes it, there is no sale between us.' They made the transaction on that basis. Then the buyer regretted before the seller consulted the person. Malik said, "That sale is binding on them according to what they described. The buyer has no right of withdrawal, and it is binding on him, if the person whom the seller stipulated to him, permits it." Malik said, "The way of doing things among us about a man who buys goods from another and they differ about the price, and the seller says, 'I sold them to you for ten dinars,' and the buyer says, 'I bought them from you for five dinars,' is that it is said to the seller, 'If you like, give them to the buyer for what he said. If you like, swear by Allah that you only sold your goods for what you said.' If he swears it is said to the buyer, 'Either you take the goods for what the seller said, or you swear by Allah that you bought them only for what you said.' If he swears, he is free to return the goods. That is when each of them testifies against the other

French

On rapporta à Malek que Abdallah Ibn Mass'oud enseignait que l'Envoyé d'Allah (salallahou alayhi wa salam) r (Sur lui la grâce et la paix d'Allah) avait dit:«Un vendeur et un acheteur, qui entre eux, ont conclu une vente et se disputent, on tient compte de ce que le vendeur stipule, autrement, le contrat de vente est à annuler». Malek a dit: «Un homme, achete une marchandise, et le vendeur stipule, avant que la vente ne soit conclue, qu'il doit consulter une tierce personne de telle façon que: «Si ce dernier l'agrée, la vente est permise, sinon, il n'y aura plus de vente». Le contrat est conclu entre eux, puis aussitôt après l'acheteur le regrette avant même que le vendeur n'ait consulté, la tierce personne», Malek dit: «Cette vente est une obligation, selon ce qui a été entendu entre eux, par conséquent, l'acheteur n'a pas à choisir, si la troisième personne consultée l'agrée. - Malek a enfin dit: «Qu'un homme s'achète d'un autre une marchandise, puis qu'ils se disputent tous deux le prix, et que le vendeur dise: «Je te l'ai vendue à dix dinars» et que l'acheteur lui répond: «non, je l'ai achetée à cinq», l'on dira, dans ce cas au vendeur: «Si, tu veux, tu peux la lui vendre, au prix qu'il a fixé, ou bien, fais serment de ne la lui vendre que selon le prix que tu viens de le lui dire». Or, si le vendeur fait serment, on dira à l'acheteur: «Soit que tu achètes la marchandise, au prix que le vendeur a fixé, ou que tu fasses serment de ne l'acheter qu'au prix que tu as toi-même fixé». Si l'acheteur fait serment, l'on considère, dans ce cas, que chacun de ces deux l'acheteur et le vendeur, s'accuse l'un l'autre». Chapitre XXXIX Les dettes à usure

Indonesian

Turkish

Abdullah b. Mes'ud (r.a) der ki: Resulullah Sallallahu Aleyhi ve Sellem şöyle buyurdu: «Her ne zaman iki kişi alış veriş yaparlarsa, söz satıcının sözü olur. Yahut da bu alış verişten vaz geçerler.»

Urdu